Pourquoi seulement 50 membres ?

Le rugby n’a pas la profondeur de marché du football ou du tennis. Si j’ouvrais mes pronostics à 200 ou 300 personnes, les cotes bougeraient trop vite, certains n’auraient pas le temps de placer leurs paris, et les opérateurs suspendraient les marchés.
Limiter l’accès à 50 membres, c’est un choix de qualité plutôt que de quantité : vous avez la garantie de profiter de la même value que moi, sans effet de masse, et je garde une vraie proximité avec chacun.

Le rugby est un sport très rentable… mais peu liquide. Sur les exchanges, il est quasiment impossible d’engager des mises lourdes pour cause de liquidités disponibles trop faibles ( hormis 6 nations, CDM ).
Chez les bookmakers .fr et .com, je me heurte régulièrement aux limitations ou à des plafonds de mise assez bas par rapport à ma bankroll.
Autrement dit, je gagne déjà très bien ma vie uniquement avec mes propres mises, mais l’activité de tipster me permet de franchir un cap que je ne pourrais pas atteindre seul sur ce sport. C’est gagnant-gagnant : je continue à rentabiliser mon edge, tout en permettant à mes membres de profiter de mes connaissances, de progresser et de générer eux aussi des revenus stables.

Parce que je veux rester totalement indépendant.
Quand vous ne payez rien, c’est souvent que vous êtes le produit : les partenaires touchent des commissions de la part du book en question, que ce soit sur vos dépôts, sur vos mises et souvent sur vos pertes.
Je refuse catégoriquement ce système. Mon seul intérêt est que vous soyez gagnants à long terme, comme moi. Je n’ai pas besoin de revenus à l’encontre de ce que je veux véhiculer.

Certains membres parient uniquement en .fr, d’autres uniquement en .com, d’autres mixent les deux.
Je distingue donc deux bankrolls pour une question de transparence : je ne veux pas afficher uniquement le .com (où les résultats sont logiquement plus élevés car moins margés) et que mes membres .fr aient l’impression d’être floués.
C’est aussi pédagogique : ça illustre aussi l’écart financier que représente .com vs le .fr et ça peut potentiellement aider certains.

Je recommande un minimum de 15 000 € de bankroll.
Ce chiffre n’est pas choisi au hasard : sur les 4 dernières années, avec mes résultats et ma gestion, c’est le seuil à partir duquel vous pouvez viser de vrais compléments de revenus significatifs.
A contrario, inutile de venir avec 400k de bankroll, sur le rugby, au-delà de 100k, les limites de mise et la liquidité ne vous permettront pas toujours de miser autant que votre bankroll vous le permettrez.
La bankroll idéale selon moi serait de 50k.

ROI (Return On Investment) : c’est le pourcentage de gain par rapport au total misé. Un ROI de 10 % veut dire que sur 1000 € misés, vous gagnez 100 € de bénéfice net.

Variance : c’est l’écart entre les résultats attendus et les résultats réels à court terme. Même avec un edge, vous aurez des hauts et des bas. C’est la loi du hasard à court terme. Mais sur le long terme, avec un volume suffisant, la compétence reprend toujours le dessus.

Une saison négative est hautement improbable : en 4 ans, ça n’est jamais arrivé, malgré tout, je peux m’engager a un remboursement si tel est le cas si cela vous rassure.
Il est probable qu’il y ait 1 à 2 mois négatifs par an. C’est la variance.
Si vous prenez un abonnement d’un mois et que celui-ci finit en négatif, je vous offre le mois suivant. C’est ma façon de garantir que vous ayez une expérience juste et cohérente.

Tout est vérifiable.

Mon OddsPortal, suivi depuis plus de 3 ans, est 100 % infalsifiable : aucun pari ne peut être modifié ou supprimé après coup.

Mon Bet-Analytix est ouvert en continu au public, 24h/24. Vous pouvez le consulter librement et vérifier chaque pari.
La transparence est totale, il suffit de regarder.

Parce que c’est mon terrain. Rugby à XV et à 7.
C’est là que je maîtrise les équipes, les joueurs, les compétitions et les marchés, et que je possède un edge réel et durable. Sur d’autres sports, je peux avoir une opinion, mais je ne prétendrai jamais avoir l’expertise nécessaire pour gagner à long terme. Je préfère exceller dans une niche plutôt que d’être moyen partout.

Oui, sans problème.
Vous n’avez pas besoin de connaître les joueurs ou les règles sur le bout des doigts. Ce qui compte, c’est que vous ayez déjà un minimum de connaissances betting : comprendre ce qu’est une cote, un bookmaker, la notion d’EV, de variance. Le reste, je le fais pour vous.

Tout dépend de votre capital et de votre situation personnelle.
Si vous avez 15/20k de bankroll, vous pouvez viser de très beaux compléments de revenus.
Si vous avez 40/50k+, il est possible d’en vivre. Mais l’objectif premier doit rester d’apprendre, de progresser, et de générer des revenus réguliers sans pression irréaliste.

Parce que ce serait malhonnête.
Le betting évolue en permanence : les bookmakers, leurs providers, les marchés… tout change d’une saison à l’autre.
Ce que je peux garantir, c’est mon sérieux, ma méthode, et mes résultats passés : 4 saisons consécutives gagnantes, entre 12 et 27 % de ROI annuel. C’est une performance exceptionnelle à long terme.
Est-ce que vous allez tripler votre bankroll en un an ? Probablement pas. Est-ce que vous pouvez sécuriser un rendement rare et durable, supérieur à la plupart des placements traditionnels ? Oui, c’est exactement l’objectif.

Mon rôle ne s’arrête pas à vous donner des picks.
Avec mon parcours (joueur perdant puis gagnant, ex-addict, trader sportif), je peux aussi vous accompagner sur :

La technique : identifier la value, comprendre les marchés.

Le mental : gérer le tilt, rester discipliné.

La gestion : structurer son capital, dimensionner ses mises, penser en long terme.

La vision insider : les coulisses de l’industrie, comment pensent les bookmakers et pourquoi ils contre-performent sur le rugby.
Et surtout : une communauté privée, où l’échange et l’émulation collective permettent de progresser beaucoup plus vite que seul.

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